Soumise, jeu ou « Je » ?

 
 
 
 

Etes-vous soumise ou joueuse ?

 

Ce test provient de « Esprit d’O  » qu’il n’y ait pas d’équivoque.

Il semble que beaucoup ne comprennent pas la différence entre la soumission ou le jeu, voir le « Je ».
Voici toute la différence entre les deux : une vrai soumise est une personne qui aime et désire servir son Maître et être à son service.

Voici un petit QCM à vous de répondre juste par oui ou non.

Par exemple généralement : une soumise sera prévenante, et cela quelque soit les conditions.
La soumise désire faire plaisir à son Maître avant tout et peut importe l’heure.

Question

  • La seule pensée de faire plaisir à votre Maître vous motive.
    Une soumise est toujours attentive à son Maître.
Oui Non
  • Une soumise donne sa soumission librement et volontairement.
    A contrario il existe des soumises par jeu, uniquement lors des relations sexuelles.
    êtes-vous de la première ou deuxième catégorie ?
Oui Non
  • Vous ne voulez pas être assujettie aux tâches de la vie de tous les jours.
Oui Non
  • Acceptez-vous le travail et la responsabilité qui incombe a une soumise
    ou ne voulez-vous que le plaisir et rien d’autre ?
Oui Non


Pour une joueuse, un Maître pro est la meilleure solution.
Elle ne demandera jamais aucun “travail”en dehors de la session, ce qui est parfait pour une “soumise”qui ne désire aucune responsabilité.

Pourquoi ne pas être une soumise joueuse plutôt qu’une vraie soumise ?

Réponse, une soumise va trouver ce qu’une personne joueuse ne trouvera jamais dans ce genre de relation, complicité et échange.

Un Maître va dans l’intérêt de sa soumise pour l’aider à grandir en tant que soumise et en tant qu’individu.

Alors vos réponses ????? Joueuse ou pas .

Ce QCM vient de« Etes-vous soumise ou joueuse ? » depuis le site de esprit-o.com

En vous remerciant de votre attention.

Sincèrement,

Dieu

« Je ne cherche pas à connaître les réponses, je cherche à comprendre les questions. »
Confucius

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Un rituel ; le mien.

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Petite réflexion en cross over.

 

            I)  Est ce que la vraie question n’est pas avant tout une question de confiance.

confiance En premier lieu la confiance en soit, savoir ce dont on a envie et jusqu’où on peut aller personnellement. En second lieu la confiance qu’on va accorder à au « maître » (*), la confiance qu’il va acquérir auprès de la soumise (**), connaître à deux les limites à ne pas dépasser, et celles à repousser.   connaissanceCette double question une fois répondue, on peut ensuite s’accorder à se pencher sans honte sur ses propres phantasmes, ses tabous. La soumise ici peut alors se laisser aller et s’abandonner totalement à son maître, son éducateur. Je préférer personnellement le terme de dresseur, de dompteur, en fonction de « l’animal». Dresseur si on a affaire à un cheval fougueux, mais prometteur, dompteur si c’est une tigresse avec ses griffes acérées sous son doux pelage.

         II)  Connaissance

limitea)  Limite Car c’est la PREMIERE limite à ne pas franchir : le propre respect de soi-même, qui permettra de ne pas atteindre le respect de l’animal ainsi dominé. Voilà de simples réflexions qui paraissent évidente, mais que beaucoup oublient : le premier organe sexuel est le cerveau ! C’est lui et uniquement lui qui va libérer les endorphines qui vont nous procurer du plaisir, ou solliciter les autres glandes pour nous exciter. Une bonne ambiance et un cadre maîtrisé seront toujours plus parfaits qu’une simple performance athlétique. preliminairesb)  Préliminaires Et c’est dans les préliminaires même, ceux de la connaissance, de la connivence entre dresseur et animal que la confiance s’établi et que les liens, ceux du Renard et du petit prince commencent à ce tisser, ils sont d’autant plus doux et agréables qu’on les ressent surtout lorsque l’être et loin. Il ne s’agit pas que de liens, qui entravent, ce sont surtout des liens qui rattachent et qui encordent la soumise et ses phantasmes à la réalité du maître. La pensée de la soumise est entièrement tendue vers le plaisir du maître, qu’il soit charnel ou non. Maître et soumise se rejoignent donc l’univers de l’imaginaire et celui de la réalité, des sentiments et de sensations à celui de des sens et des caresses sur la peau…

         III)  Approche et apprivoisement

approchera)  Approcher Si cette réflexion et cette approche vous interpelle et vous fait réfléchir c’est alors que vous êtes en bonne voie. Voici le petit rituel que je propose : –  Etablir sur une feuille ses fantasmes, la déchirer, la brûler, la faire « disparaître » par le moyen qui vous convient. – Ensuite en faire une à celui à qui vous allez accorder votre confiance. La soumise « DOIT » impérativement laisser le maître gagner sa confiance. Elle doit s’acquérir chaque jour, à chaque relation, se gagner petit à petit, elle ne doit pas être totale ! JAMAIS , seul l’abandon et le plaisir doivent être abandonnés au dompteur et lui faire confiance sur ce qu’il peut offrir à l’animal et dans la direction qu’il peut aller. apprivoiseeb)  Apprivoiser Le maître sera ravi de s’approcher pas à pas de cette belle jument à la robe Isabelle, de lui murmurer à l’oreille et de la calmer, l’apaiser. Acquérir sa confiance pour poser doucement une selle sur sa croupe, puis un jour qu’elle accepte de se laisser monter. Le maître alors lui apprendra à sauter des obstacles, il lui apprendra à obéir d’un simple mouvement de la baguette. Si bien que qu’il sera fier des tours et des prouesses qu’elle exécute. La jument sera remplie d’orgueil et de plaisir qu’éprouve son dompteur… De cette métaphore équestre je vous salue bien bas et de ma main gantée, la cravache au côté, le clavier devant moi, je répondrai…

(*) Par convention afin d’en faciliter la compréhension nous utiliserons le mot « Maître » pour désigner le Dominant, masculin ou féminin d’ailleurs. Quoi que j’en pense soit totalement différent.  « Maître selon moi » (**) Par convention afin d’en faciliter la compréhension nous utiliserons le mot « soumise » pour désigner celui qui est dominé, masculin ou féminin d’ailleurs. Nous n’en occulterons pas pour autant le genre : « femme soumise » ou « homme soumis ». Mais c’est par principe de praticité que nous emploierons cette « abréviation ». Vous pouvez venir lire  « Soumission »
En vous remerciant de votre attention.

Sincèrement,

Dieu

« Lorsque les mots perdent leur sens, les gens perdent leur liberté. » Confucius

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Liste de vérification d’activités pour partenaires de jeux BD²S²M

Voici une petite liste à postériori,

 

Cette liste est proposée initialement par Kayyam’s Alamut à destination exclusive de la Soumise.

Il est complet et il n’est pas exhaustif, j’ai rajouté (et je continuerai à en rajouter) des « envies », des « désirs » afin de l’agrémenter. (En revanche je supprime dans l’immédiat les photos, je complèterai par la suite avec des clichés au sein de cet article ou des liens connexes.)
En bas de tableau pour pourrez trouver DEUX documents à télécharger, un fichier Excel et pour ceux qui craignent les virus et autres macro, le PDF.

  Cependant je vous propose le texte dans son intégralité, vous le trouverez aussi à sa source ; Khayyam’s Alamut

Soumise_mainJe pense pour ma part que ce questionnaire devrait être rempli « par les deux parties ».
Je proposer en effet à ma Soumise ce genre de « questions », je ne formalise pas mes demandes par un questionnaire, mais je crois qu’il peut être une bonne base.

Parmi différents rituel, je pense que ce questionnaire devrait avoir une bonne place au sein de la relation dans la phase d’acceptation. Ce questionnaire a tout a fait sa place avant la probation et je pense que pendant le Noviciat de la Soumise il est important de mieux connaître les goûts de chacun.

Vous l’avez compris en ce qui me concerne je ne propose ce “genre” de questions qu’à celle qui porte DEJA mon collier, et non pas “pour faire connaissance“.

En effet pour moi il est “impensable” qu’une personne que je ne connais pas se confie aussi intimement.

Ce que je propose en revanche à celle qui portera mon collier, c’est de faire “une” liste, SA liste, dont je ne dois pas prendre connaissance et d’ailleurs je lui demande de la détruire AVANT que de porter mon collier.

FragilePuis par la suite lorsqu’elle porte mon collier, nous parlons, nous échangeons et faisons un peu ce genre de questionnaire, pas de manière aussi formelle.
Mais surtout mesdames, (ou Soumis) faites attention, cessez de vous confier, aussi, intimement à des inconnus finalement.
Prenez soin de vous, et si ce “Dom” est (trop) exigeant ou pressé, que vous vous sentez “oppressé(e)” qu’il va trop vite pour vous sans vous écouter… c’est peut-être un signe… un mauvais signe.
C’est ainsi que je le présente à ma Soumise, si elle ne commence pas par s’écouter elle même, comment pourrait elle m’écouter moi !? Ecoutez vous, faites lui en part “SI” ça va trop vite, trop fort, il doit vous écouter et en ternir compte.

A titre personnel, voila comment moi je procèderai ;
– Je remplirai le questionnaire, je zippe le fichier avec un mot de passe.
– J’enverrai « mon » questionnaire « protégé » à ma Soumise (celle qui porterai DEJA mon collier),
– Je lui demanderai de remplir le sien, qu’elle me fera parvenir, en retour elle aura le mot de passe afin de prendre connaissance du mien.
Ainsi il n’y a pas de « triche » sur mes goûts et nos goûts communs, je découvre les siens, en toute sincérité et elle découvre les miens avec autant d’honnêteté.
Puis ensemble, nous prenons nos deux tableaux afin d’échanger et de mieux nous comprendre, de comprendre nos goûts, d’écouter ses doutes à elle, découvrir ses envies à elle, partager mes préférences…

Lire la Suite.

BD²S²M, vie privé et son entourage.

 

Faut il se cacher, de son entourage en particulier ?

 

Voila une question récurrente et qui récure les méninges en apparence.
Souvent c’est une question qui est abordée, elle me surprend toujours, de ne pas se cacher et d’en parler à son entourage, ma réponse est « différente ».

 

La « vraie » question ne réside pas en ce que vous pouvez dire, mais en ce qu’ils peuvent entendre…

Ce que vous révélez (et même dans la « vie vanille ») reste des relations INTIMES !
Sans qualifier de BD²S²M ou « vanille » iriez vous raconter une partie de jambes en l’air !?
Que vous soyez « entravées » (BD²S²M) ou « simplement » en levrette (vanille) !?

Au delà de l’impudicité, à quel moment vous manquez de vergogne et commettez un attentat à la pudeur, celle de votre entourage, vous rendant ainsi « coupable » d’exhibitionnisme ?

Posez vous simplement la question aimeriez vous savoir dans quelle «position» (sexuelle) vous avez été «conçu(e)» et à quel moment d’une soirée débridée vos parents ont commis l’acte dont vous êtes issu(e) !

 

Alors vous aurez votre réponse, de ce que vous pouvez dire et à qui, a

 

 

Pour ma part la réponse est simple et j’espère efficace si « on » venait à le savoir (peu importe la raison) en aurais je honte !?

J’ai donc résolu le problème en ne commettant rien dont je puisse rougir et avoir honte, c’est à dire « me justifier ».

Je pratique par exemple le Shibari et je n’ai pas honte si « on » venait à le savoir, ce que je fais
est et reste « respectueux » pour ne pas attenter à la pudeur de ces proches qui pourraient en avoir connaissance.
Et j’ai pris le parti d’en faire quelque chose de beau pour lequel il ne puisse pas y avoir de reproche à émettre.

Je n’ai donc pas « d’explications » à fournir à priori et certainement aucune « justifications ».
Car personne n’aurait à me « juger » pour des choses « inqualifiables ». Samuel 16:7.

 

En vous remerciant de votre attention.

Sincèrement,

Dieu

« Je ne cherche pas à connaître les réponses, je cherche à comprendre les questions. »
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Mentor et Charge

Des rôles et des définitions.

 

Dans « Maître selon » moi j’ai donné MA définition du mot « maître » et moins de son rôle.

 

Je vous propose, un peu par manque de temps et par paresse, la définition de Maître Thiabud.

Cela dit sa vision est assez honnête et je en vois pas de raison de réinventer la roue.

Ce texte provient de « Maître Thiabud  » qu’il n’y ait pas d’équivoque.

 

Dans sa difficile quête du Maître idéal, une docile novice est toujours confrontée à de nombreuses difficultés et se trouve tourmentée par mille questions et mille hésitations : Qui suis-je vraiment ? Qu’est-ce que je recherche réellement ? De quoi ai-je envie et qu’est-ce que je ne veux absolument pas expérimenter ? Comment reconnaître un vrai Dom ? Un bon Maître ? Comment savoir si c’est Lui qui pourrait me convenir ? De quoi sera faîte ma future vie ? Serai-je à la hauteur de Ses espérances ? Etc.…

D’ailleurs il n’est pas superflu de rappeler que c’est toujours la soumise qui choisit son Maître ou sa Maîtresse. Du moins il devrait normalement en être ainsi… En somme, le Dominant propose (ses connaissances, ses compétences, ses qualités, ses extravagances, sa vision de la relation etc.…), et la docile dispose – en toute connaissance de cause et après mûre réflexion.

Toutefois trouver la bonne personne peut se révéler fastidieux et long. A moins d’un gros coup de chance, c’est plutôt en mois voire en années qu’il faut calculer… Pour une docile comme pour un Dominant, attendre l’Autre est désagréable, et l’on a alors le sentiment de perdre un temps précieux et de stagner dans son évolution. Car s’il n’y a pas de soumise sans Maître, l’inverse est tout à fait vrai également…

Dans cette situation, il existe une option vraiment intéressante et pourtant très méconnue : En attendant d’être soumise, la docile peut devenir la « charge » d’un « Mentor ». Un Mentor est un Dominant (homme ou femme) expérimenté, pédagogue et suffisamment disponible pour accompagner une docile le temps qu’elle se forme correctement et qu’elle trouve son bonheur.

Le Mentor n’est absolument pas le Maître de la charge (on dit « charge » non pas parce que la docile est un poids pour le Mentor, mais parce qu’il est responsable d’elle, qu’il en a la charge), et les rapports qu’il entretient avec elle, sont honnêtes et désintéressés. A vrai dire, le Mentor est tout à la fois le professeur, le conseiller, le guide, le confident et le protecteur de la charge.

Il n’est pas nécessaire que Mentor et charge soient véritablement compatibles quant à leurs goûts et leurs pratiques BDSM ; Ils ne sont de toute façon pas destinés à les partager en tant que Maître et soumise (bien qu’il arrive parfois qu’une charge finisse par demander à son Mentor de devenir son Dom…). Il n’est pas non plus obligé qu’ils se rencontrent physiquement ; Leur relation pouvant se limiter aux échanges « virtuels ».

Aucun contrat ne doit lier les deux parties, mais il est d’usage que la docile demande au Dominant de son choix, par le biais d’une lettre motivée, s’il veut bien accepter de devenir son Mentor. Elle ne doit pas faire sa demande au premier venu naturellement. Il sera précisé clairement l’étendue de la « mission » du Mentor pour éviter tout malentendu :

Peut-être que la docile a seulement besoin d’un avis extérieur pour choisir son Dom. Peut-être a-t-elle besoin avant cela de conseils pour optimiser sa recherche. Plus antérieurement encore, peut-être a-t-elle besoin qu’on lui enseigne les subtilités du BDSM ; Ou même, peut-être qu’elle en est juste au début de son cheminement et qu’elle a besoin qu’on l’aide à comprendre pourquoi elle se sent attirée par la soumission et le mode de vie qui s’y rapporte.

A chaque fois qu’elle en ressent l’utilité, la charge contacte son Mentor et lui expose le plus ouvertement et le plus précisément son problème, sa question, son état d’âme éventuellement. Mais elle ne doit pas abuser du temps précieux du Mentor ni se reposer complètement sur lui pour avancer. La soumission est une démarche très personnelle, et c’est à la docile de décider et d’agir pour son avenir.

Il n’est pas souhaitable que le Mentor et sa charge partagent des moments d’intimité par l’intermédiaire d’activités BDSM ou purement sexuelles. Cela risquerait fort de conduire à certaines ambiguïtés toujours préjudiciables. Le Mentor n’est ni un partenaire de jeu, ni un Entraîneur, ni un amant. Il doit rester à sa place, et la charge ne doit pas se laisser aller à jouer la tentatrice, ayant à défaut d’un Maître un Dominant qui s’occupe d’elle.

S’il est convenu que le Mentor aide sa charge à se libérer sexuellement en vue de devenir une bonne soumise pour son futur Maître ou sa future Maîtresse, il prodiguera conseils et remarques, mais il restera en retrait et ne prendra part en aucune manière aux exercices de la docile.

Il peut tout à fait arriver que la charge demande à son Mentor de lui faire découvrir l’univers du BDSM à l’occasion de telle ou telle sortie : Visite d’un magasin spécialisé, présence à une manifestation particulière, à une soirée privée etc.… Une telle démarche ne s’improvise pas. Le Mentor prend alors le temps nécessaire pour expliquer à la charge tout ce qu’elle doit savoir, de telle sorte que l’expérience soit au final positive et profitable à sa formation : Du dress code éventuel à la manière adéquate de se comporter en public – en présence d’initiés ou de profanes, en passant par le respect de la sacro-sainte Etiquette, la charge doit assimiler toutes les subtilités qui lui éviteront la honte et le déshonneur pour son accompagnant.

Plus que jamais le devoir du Dominant est alors de protéger la docile, contre tout et contre tous, y compris contre elle-même le cas échéant. L’Etiquette impose que la charge doive obéir à son Mentor dès lors qu’il est question de son intérêt le plus élémentaire ; Cela fait partie du contrat de confiance existant entre eux deux. Un bon Mentor, comme tout vrai Dominant, sait qu’il ne faut pas brûler les étapes et qu’on ne doit révéler que ce que la docile est capable de comprendre et d’accepter. Et qu’il est parfois indispensable de tempérer la docile aux yeux écarquillés face à tant de nouveautés excitantes tant pour le corps que pour l’esprit…

Affirmons enfin que l’Etiquette interdit au Mentor de faire l’entremetteur, ou simplement de pousser la charge dans les bras de quiconque, même pour un instant seulement. Au contraire, il est de son devoir de bien faire comprendre à la docile qu’elle doit poursuivre avec sérieux son but véritable qui est de trouver un Collier.

Le moment des négociations venu, le Mentor fait de son mieux pour renseigner impartialement et sagement sa charge à chacune des étapes du processus. Il peut ainsi l’aider à remplir sa Liste, à discuter avec le Maître potentiel de tous les aspects liés à la relation envisagée, et au besoin à rédiger sa Lettre d’Engagement. Je dis bien « aider » et pas faire à sa place ; Il n’en a pas le droit. Si la docile estime cela utile et rassurant, elle peut aussi émettre le souhait que son Mentor la présente (physiquement ou pas) au Maitre potentiel. Mais la mission du Mentor s’arrête impérativement à la signature du Contrat de la soumise.

Petit rappel, ce test provient de « Maître Thiabud  » qu’il n’y ait pas d’équivoque.

 

En vous remerciant de votre attention.

Sincèrement,

Dieu

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Théorie du Genre.

 

Comme le dit le titre,

 

Une “théorie” ?? Vraiment ?? Définition :

Théorie

I. [Le plus souvent p. oppos. à pratique]

  • A) Ensemble de notion, d’idées, de concepts abstraits appliqués à un domaine particulier.
  • B) Connaissance(s) abstraite(s) et spéculative(s) indépendante(s) des applications.

II. Dans le domaine sc.

  • A)  Construction intellectuelle, hypothétique et synthétique, organisée en système et vérifiée par un protocole expérimental; ensemble de lois formant un système cohérent et servant de base à une science, ou rendant compte de certains faits.
  • B) P. ext. Ensemble d’opinions systématisées.


Ha mais en fait ce n’est pas une “théorie” alors c’est tout à fait l’opposé ; une “PRATIQUE du genre”. Il s’agit en dans les faits d’une IDEOLOGIE !
Mise à jour ; j’illustre cela par des vidéos plus récentes.

 

On n’est plus dans de la rercherche scientifique mais dans de la JUSTIFICATION scientifique perverse.


En vous remerciant de votre attention.

Sincèrement,

Dieu

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Les différents colliers.

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Votre avis est important, et vos opinions sont intéressantes.

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Le collier, mais en fait « les » colliers,

En construction

Cet article est en cours de relecture, et sera bientôt disponilbe,

Merci.

En-construction

En construction

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Périodes et étapes.

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Déroulement et stades de la relation,

Préambule :

Avant toute chose je désire rappeler que la Soumise peut déposer son collier à tout moment, unilatéralement, inconditionnellement.

Une Soumise n’a pas « besoin » d’être affranchie.


En ce qui me concerne cela se déroule en quatre périodes, mais 5 « étapes ».

Tout au début il y a « rien » c’est une « non » période, mais elle existe.

1) Contact ; la rencontre,
2) Exploration ; la découverte,
3) Acceptation ; le noviciat,
4) Probation ; les épreuves,
5) Détermination ; Le début ou approbation définitive.

Cette cinquième et dernière période est en réalité le « début » de notre aventure commune.
Aucune de mes Soumise n’a pu passer avec succès la probation et entrer en détermination.

Lire la Suite.

 

Huit degré de la Soumission.

 
 

Ce test provient de « Cercle O  » qu’il n’y ait pas d’équivoque.

 
 

« 1° degré : l’amoureux non-dominant

010get_img[1]Il n’est pas dans l’échange de pouvoir ni dans le contrôle et ne donne pas d’ordres. Il apprécie seulement l’intensification de sa sexualité que lui apporte la mise en scène BDSM. Il se sent conforté dans ce jeu si la partenaire en tire du plaisir.
Il n’essaiera pas de nouvelles pratiques sans en avoir auparavant discuté avec elle et être certain que cette dernière appréciera ce changement.
Son plaisir est avant tout axé sur l’activité sexuelle et non pas sur la « fessée » ou le contrôle de l’autre.

2° degré : Le jeu de rôle dominant mais pas maître

Très souvent, il trouve ses partenaires sur le Net. Il sera dominant et semblera être capable de tout contrôler. Il aimera jouer des rôles : sur le registre de l’humiliation, sa « soumise » devra le servir, se mettre à genoux ou agir comme il veut. Il aime « former » de nouvelles soumises. Il se sent ainsi sûr de lui malgré son peu de connaissance du D/s. Il ne forcera pas la soumise dans ses limites, sauf dans une relation de cybersexe.
Ce type de « dominant » se vantera des esclaves qu’il a eues et de celles qu’il a formées.

3° degré : le jeu de rôle dominant/maître

044get_img[3]Il aime jouer au « maître » qui contrôle le jeu. Il veut que sa « soumise » porte un collier avant même qu’un premier rapport soit établi. Dans les conditions qu’il aura dictées, il se fera servir et la soumise devra satisfaire à ses besoins.
Il ne se préoccupe absolument pas de la progression de sa soumise. Il ne donne que rarement des « exercices » et même dans ce cas, le feed-back est minimal.
Et s’il est dans un registre de contrôle et de domination, celui-ci ne servira pas à faire progresser la partenaire.

4° degré : le véritable dominant non-Maître

Il contrôle et commande la soumise mais à titre provisoire et dans les limites convenues. La différence avec le précédent c’est que celui-ci sait que le pouvoir vient du sujet soumis. Il est habituellement excité d’être servi sexuellement. Il n’éprouve pas de satisfaction à forcer la soumise. Il met plutôt leurs jeux en scène dans les limites définies. Et bien qu’il cherche son plaisir dans la domination, il est certain que sa soumise y trouvera elle aussi et grandement le sien.

5° degré : le véritable dominant maître de jeu

Il prend aussi le contrôle mais c’est une habitude provisoire et dans des limites consenties. Il éprouve de la satisfaction d’être servi. Il met en scène, en jouant sur la soumission de sa partenaire et la douleur légère qu’il lui apporte.
Malgré cela, il ne va pas assez loin pour libérer des endorphines chez la soumise. Il tire plaisir à être à l’origine de la douleur et non de ce que peut éprouver cette dernière.
S’il contrôle la soumise, il ne contrôle pas la « séance » et celle-ci se terminera au même niveau d’intensité qu’elle avait commencé.

6° degré : le maître dominant non engagé dans le temps

009get_img[2]Il domine le rapport, mais peut avoir convenu de limites. Il veut être servi par la soumise tant dans les activités érotiques que non-érotiques. Dans les limites consenties, la soumise doit satisfaire à ses besoins et ses désirs. Il donnera des taches à exécuter à sa soumise sans pour autant se préoccuper de leur accomplissement.
Il jouera le rôle du dominant seulement quand il sera dans l’humeur de le faire. Le jeu de rôle peut durer plusieurs jours («Maître le week-end seulement ! ») mais en conservant, pour chacun, la liberté de renoncer à tout moment. Cette durée est habituellement définie par les contraintes du temps qu’ils peuvent passer ensemble. Lorsque la relation perdure, il a toujours une bonne raison pour que celle-ci ne soit pas à plein temps.

7° degré : le vrai maître à temps partiel

Dans la relation « Maître/esclave » en cours, il considère sa soumise comme sa propriété exclusive à plein temps. Il cherche à distinguer ce qu’elle veut et/ou a besoin et souhaite que sa soumise « grandisse ». Habituellement il règlera les détails de la vie courante de sa soumise (taches à exécuter, vêtements à porter, etc…). Il consacre la majeure partie de son temps à ses divers engagements mais réserve le maximum de son temps libre à sa soumise.
Ses mises en scènes ont pour but de faire progresser sa soumise. Il contrôle les réactions de la soumise, en observe constamment les changements physiques et maîtrise la progression de l’action en fonction de la libération des endorphines pour l’amener dans le « subspace ». Il a à cœur de l’accompagner dans « son retour » et se préoccupe alors de ses besoins.

8° degré : le maître à plein temps

060get_img[16]Il a le contrôle total du rapport mais pense aussi au bien-être de l’esclave. Les limites posées sont considérées comme des occasions de faire progresser la soumise par des « devoirs » à exécuter dans le cadre de la relation.
Il considère sa soumise comme un bien précieux et consacre du temps à la façonner, « la polir » par la formation. Au quotidien même si son rôle est semblable au « mari vanille », il demeure le gardien de la relation et le garant du bien-être de la soumise.
En raison de l’échange total de pouvoir, celui-ci s’étend sur les différentes facettes de la vie de l’esclave (physique, émotionnel et mental). Une relation de ce type est habituellement définie beaucoup plus soigneusement que le mariage traditionnel.
Souvent un contrat est signé spécifiant la durée du contrat, les règles à respecter par l’esclave. Ce contrat est normalement basé sur les règles de D/s dans des termes qui seront agréés par les deux protagonistes. Il contiendra aussi les modalités de progression de la soumise.
La rupture du contrat ne peut intervenir que par le fait du maître qui peut aussi le renouveler lorsque le contrat arrive à expiration. »

En vous remerciant de votre attention.

Sincèrement,

Dieu

« Je ne cherche pas à connaître les réponses, je cherche à comprendre les questions. »
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Maître selon moi.

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La réflexion de cet article remonte à plusieurs lustres, sa rédaction d’un seul.
Aujourd’hui, je le publie.


Etymologie :

Introduction et sens :

Le mot « maître » s’applique aussi pour son pendant féminin, « maîtresse ».
Cependant le féminin de « maître », il n’a usuellement pas le même sens.
La « maîtresse » est l’amante et certainement pas la « Domina » dans notre langage commun.
Voilà un archétype.

Nous allons admettre que je suis un homme, je vais donc parler au masculin et que nous traitons du même sens, sinon je vais digresser.
J’emploierai donc « maître » pour désigner la fonction et non le sexe.

 

Pourquoi je n’aime pas ce mot :

Entendez tout d’abord qu’il s’agisse de mes goûts et ne sont donc pas discutables, je n’aime pas.
Je n’aime pas en cela ce mot que je le trouve insultant, pour diverses raisons.

Lire la Suite.