Soumise, jeu ou « Je » ?

 
 
 
 

Etes-vous soumise ou joueuse ?

 

Ce test provient de « Esprit d’O  » qu’il n’y ait pas d’équivoque.

Il semble que beaucoup ne comprennent pas la différence entre la soumission ou le jeu, voir le « Je ».
Voici toute la différence entre les deux : une vrai soumise est une personne qui aime et désire servir son Maître et être à son service.

Voici un petit QCM à vous de répondre juste par oui ou non.

Par exemple généralement : une soumise sera prévenante, et cela quelque soit les conditions.
La soumise désire faire plaisir à son Maître avant tout et peut importe l’heure.

Question

  • La seule pensée de faire plaisir à votre Maître vous motive.
    Une soumise est toujours attentive à son Maître.
Oui Non
  • Une soumise donne sa soumission librement et volontairement.
    A contrario il existe des soumises par jeu, uniquement lors des relations sexuelles.
    êtes-vous de la première ou deuxième catégorie ?
Oui Non
  • Vous ne voulez pas être assujettie aux tâches de la vie de tous les jours.
Oui Non
  • Acceptez-vous le travail et la responsabilité qui incombe a une soumise
    ou ne voulez-vous que le plaisir et rien d’autre ?
Oui Non


Pour une joueuse, un Maître pro est la meilleure solution.
Elle ne demandera jamais aucun “travail”en dehors de la session, ce qui est parfait pour une “soumise”qui ne désire aucune responsabilité.

Pourquoi ne pas être une soumise joueuse plutôt qu’une vraie soumise ?

Réponse, une soumise va trouver ce qu’une personne joueuse ne trouvera jamais dans ce genre de relation, complicité et échange.

Un Maître va dans l’intérêt de sa soumise pour l’aider à grandir en tant que soumise et en tant qu’individu.

Alors vos réponses ????? Joueuse ou pas .

Ce QCM vient de« Etes-vous soumise ou joueuse ? » depuis le site de esprit-o.com

En vous remerciant de votre attention.

Sincèrement,

Dieu

« Je ne cherche pas à connaître les réponses, je cherche à comprendre les questions. »
Confucius

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Mentor et Charge

Des rôles et des définitions.

 

Dans « Maître selon » moi j’ai donné MA définition du mot « maître » et moins de son rôle.

 

Je vous propose, un peu par manque de temps et par paresse, la définition de Maître Thiabud.

Cela dit sa vision est assez honnête et je en vois pas de raison de réinventer la roue.

Ce texte provient de « Maître Thiabud  » qu’il n’y ait pas d’équivoque.

 

Dans sa difficile quête du Maître idéal, une docile novice est toujours confrontée à de nombreuses difficultés et se trouve tourmentée par mille questions et mille hésitations : Qui suis-je vraiment ? Qu’est-ce que je recherche réellement ? De quoi ai-je envie et qu’est-ce que je ne veux absolument pas expérimenter ? Comment reconnaître un vrai Dom ? Un bon Maître ? Comment savoir si c’est Lui qui pourrait me convenir ? De quoi sera faîte ma future vie ? Serai-je à la hauteur de Ses espérances ? Etc.…

D’ailleurs il n’est pas superflu de rappeler que c’est toujours la soumise qui choisit son Maître ou sa Maîtresse. Du moins il devrait normalement en être ainsi… En somme, le Dominant propose (ses connaissances, ses compétences, ses qualités, ses extravagances, sa vision de la relation etc.…), et la docile dispose – en toute connaissance de cause et après mûre réflexion.

Toutefois trouver la bonne personne peut se révéler fastidieux et long. A moins d’un gros coup de chance, c’est plutôt en mois voire en années qu’il faut calculer… Pour une docile comme pour un Dominant, attendre l’Autre est désagréable, et l’on a alors le sentiment de perdre un temps précieux et de stagner dans son évolution. Car s’il n’y a pas de soumise sans Maître, l’inverse est tout à fait vrai également…

Dans cette situation, il existe une option vraiment intéressante et pourtant très méconnue : En attendant d’être soumise, la docile peut devenir la « charge » d’un « Mentor ». Un Mentor est un Dominant (homme ou femme) expérimenté, pédagogue et suffisamment disponible pour accompagner une docile le temps qu’elle se forme correctement et qu’elle trouve son bonheur.

Le Mentor n’est absolument pas le Maître de la charge (on dit « charge » non pas parce que la docile est un poids pour le Mentor, mais parce qu’il est responsable d’elle, qu’il en a la charge), et les rapports qu’il entretient avec elle, sont honnêtes et désintéressés. A vrai dire, le Mentor est tout à la fois le professeur, le conseiller, le guide, le confident et le protecteur de la charge.

Il n’est pas nécessaire que Mentor et charge soient véritablement compatibles quant à leurs goûts et leurs pratiques BDSM ; Ils ne sont de toute façon pas destinés à les partager en tant que Maître et soumise (bien qu’il arrive parfois qu’une charge finisse par demander à son Mentor de devenir son Dom…). Il n’est pas non plus obligé qu’ils se rencontrent physiquement ; Leur relation pouvant se limiter aux échanges « virtuels ».

Aucun contrat ne doit lier les deux parties, mais il est d’usage que la docile demande au Dominant de son choix, par le biais d’une lettre motivée, s’il veut bien accepter de devenir son Mentor. Elle ne doit pas faire sa demande au premier venu naturellement. Il sera précisé clairement l’étendue de la « mission » du Mentor pour éviter tout malentendu :

Peut-être que la docile a seulement besoin d’un avis extérieur pour choisir son Dom. Peut-être a-t-elle besoin avant cela de conseils pour optimiser sa recherche. Plus antérieurement encore, peut-être a-t-elle besoin qu’on lui enseigne les subtilités du BDSM ; Ou même, peut-être qu’elle en est juste au début de son cheminement et qu’elle a besoin qu’on l’aide à comprendre pourquoi elle se sent attirée par la soumission et le mode de vie qui s’y rapporte.

A chaque fois qu’elle en ressent l’utilité, la charge contacte son Mentor et lui expose le plus ouvertement et le plus précisément son problème, sa question, son état d’âme éventuellement. Mais elle ne doit pas abuser du temps précieux du Mentor ni se reposer complètement sur lui pour avancer. La soumission est une démarche très personnelle, et c’est à la docile de décider et d’agir pour son avenir.

Il n’est pas souhaitable que le Mentor et sa charge partagent des moments d’intimité par l’intermédiaire d’activités BDSM ou purement sexuelles. Cela risquerait fort de conduire à certaines ambiguïtés toujours préjudiciables. Le Mentor n’est ni un partenaire de jeu, ni un Entraîneur, ni un amant. Il doit rester à sa place, et la charge ne doit pas se laisser aller à jouer la tentatrice, ayant à défaut d’un Maître un Dominant qui s’occupe d’elle.

S’il est convenu que le Mentor aide sa charge à se libérer sexuellement en vue de devenir une bonne soumise pour son futur Maître ou sa future Maîtresse, il prodiguera conseils et remarques, mais il restera en retrait et ne prendra part en aucune manière aux exercices de la docile.

Il peut tout à fait arriver que la charge demande à son Mentor de lui faire découvrir l’univers du BDSM à l’occasion de telle ou telle sortie : Visite d’un magasin spécialisé, présence à une manifestation particulière, à une soirée privée etc.… Une telle démarche ne s’improvise pas. Le Mentor prend alors le temps nécessaire pour expliquer à la charge tout ce qu’elle doit savoir, de telle sorte que l’expérience soit au final positive et profitable à sa formation : Du dress code éventuel à la manière adéquate de se comporter en public – en présence d’initiés ou de profanes, en passant par le respect de la sacro-sainte Etiquette, la charge doit assimiler toutes les subtilités qui lui éviteront la honte et le déshonneur pour son accompagnant.

Plus que jamais le devoir du Dominant est alors de protéger la docile, contre tout et contre tous, y compris contre elle-même le cas échéant. L’Etiquette impose que la charge doive obéir à son Mentor dès lors qu’il est question de son intérêt le plus élémentaire ; Cela fait partie du contrat de confiance existant entre eux deux. Un bon Mentor, comme tout vrai Dominant, sait qu’il ne faut pas brûler les étapes et qu’on ne doit révéler que ce que la docile est capable de comprendre et d’accepter. Et qu’il est parfois indispensable de tempérer la docile aux yeux écarquillés face à tant de nouveautés excitantes tant pour le corps que pour l’esprit…

Affirmons enfin que l’Etiquette interdit au Mentor de faire l’entremetteur, ou simplement de pousser la charge dans les bras de quiconque, même pour un instant seulement. Au contraire, il est de son devoir de bien faire comprendre à la docile qu’elle doit poursuivre avec sérieux son but véritable qui est de trouver un Collier.

Le moment des négociations venu, le Mentor fait de son mieux pour renseigner impartialement et sagement sa charge à chacune des étapes du processus. Il peut ainsi l’aider à remplir sa Liste, à discuter avec le Maître potentiel de tous les aspects liés à la relation envisagée, et au besoin à rédiger sa Lettre d’Engagement. Je dis bien « aider » et pas faire à sa place ; Il n’en a pas le droit. Si la docile estime cela utile et rassurant, elle peut aussi émettre le souhait que son Mentor la présente (physiquement ou pas) au Maitre potentiel. Mais la mission du Mentor s’arrête impérativement à la signature du Contrat de la soumise.

Petit rappel, ce test provient de « Maître Thiabud  » qu’il n’y ait pas d’équivoque.

 

En vous remerciant de votre attention.

Sincèrement,

Dieu

« Je ne cherche pas à connaître les réponses, je cherche à comprendre les questions. »

Confucius

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Périodes et étapes.

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Votre avis est important, et vos opinions sont intéressantes.

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Déroulement et stades de la relation,

Préambule :

Avant toute chose je désire rappeler que la Soumise peut déposer son collier à tout moment, unilatéralement, inconditionnellement.

Une Soumise n’a pas « besoin » d’être affranchie.


En ce qui me concerne cela se déroule en quatre périodes, mais 5 « étapes ».

Tout au début il y a « rien » c’est une « non » période, mais elle existe.

1) Contact ; la rencontre,
2) Exploration ; la découverte,
3) Acceptation ; le noviciat,
4) Probation ; les épreuves,
5) Détermination ; Le début ou approbation définitive.

Cette cinquième et dernière période est en réalité le « début » de notre aventure commune.
Aucune de mes Soumise n’a pu passer avec succès la probation et entrer en détermination.

Lire la Suite.

Les “Trois lois”, selon moi.

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Mes Trois lois.

A mon égard :

  1. Je ne porterai atteinte à personne, ni par mon inaction permettrai que quelqu’un soit blessé.
  2. J’écouterai librement mes désirs et mes envies sauf si cela entre en contradiction avec la première loi.
  3. Je dois faire en sorte que celle qui porte mon collier me soit attentive et la guider en cela, aussi longtemps qu’une telle protection n’est pas en contradiction avec la Première et /ou la Deuxième Loi.


A son égard :

  1. La personne qui se soumet ne doit permettre que son intégrité soit compromise ni par son inaction tolérer que cela se produise.
  2. La personne qui se soumet doit suivre les préconisations de celui dont elle porte le collier, sauf si cela entre en contradiction avec la Première Loi.
  3. La personne qui se soumet doit protéger celle dont elle porte le collier et en prendre soin aussi longtemps que cela n’entre pas en contradiction avec la Première et /ou la Deuxième Loi.

Librement inspiré d’Asimov :

Première Loi

  • Un robot ne peut blesser un être humain ni, par son inaction, permettre qu’un humain soit blessé.

Deuxième Loi

  • Un robot doit obéir aux ordres donnés par les êtres humains, sauf si de tels ordres sont en contradiction avec la Première Loi.

Troisième Loi

  • Un robot doit protéger sa propre existence aussi longtemps qu’une telle protection n’est pas en contradiction avec la Première et/ou la Deuxième Loi.

Sincèrement,

Dieu

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Encylopédia, BD²S²M vulgaris.

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Texte initial 2004,première publication 2010.
Révision 2014.


BD²S²M vulgaris.

Avant toute chose je tiens à faire une présentation en deux points.

La première essentielle le « glossaire » afin d’expliquer les mots, les origines. Comprendre la base de toute chose avant de grimper les étages.

Le seconde plus autocritique d’un monde face à la mode, les deux se côtoient et ne se comprennent pas.

Quelques sources :

http://wapedia.mobi/fr/BDSM

Le cercle de Mylady

Préambule

I) Définition

  1. Bondage & Discipline
  2. Domination / soumsion
  3. Sadisme + Masochisme
  1. S+M
  2. TOP/BOTTOM
  3. D/s
  4. B&D

Conclusion

II) Vue de l’intérieur

 Fin

Préambule

« BDSM », l’acronyme mal compris lui-même en premier lieu.

Il ne s’agit pas de « BDSM » prononcé ‘bédéhéssaime mais B.D.S.M : BD. et D.S. et S.M. « conventionnellement » regroupés en factorisant les lettres en doubles : BD²S²M en somme.

Il s’agit donc de TROIS « univers » distincts et bien évidement NON concurrentiels

  1. B.D. : Bondage et Discipline.
  2. D.S. : Domination et Soumission.
  3. S.M. : Sadisme et Masochisme.

Il n’est pas obligatoire d’adhérer à tout.

J’introduis donc la valeur FONDAMENTALE de ces relations « particulières » : La liberté.

Ne perdez pas ce mot à l’esprit : « Liberté », je m’en servirai à mainte reprise et je me permettrai aussi d’expliquer et le mot et ses valeurs.

Je me permets une large digression par des « raccourcis » qui feront certainement bondir les puristes, mais qui permettront cependant d’expliquer le plus simplement possible de manière rapide et le fond et la forme, au non initiés, aux néophytes et une piqure de rappel aux autres.

Lire la Suite.