Mon Monde.

tumblr_n37ejeOGLS1rdzcbyo1_1280Par exemple ;
Le Base Jumping, dérivé du saut à parachute serait une belle analogie.

 

Le parachute est « déjà » un sport à risques.

Mais le parachute ce n’est pas que de « belles images » à la télé.
Avant tout vous passez votre première journée à monter sur un grand escabeau et à sauter dans un bac à sable.

Ensuite on vous jette de plus haut.
Enfin vous faites de la tyrolienne.

Jusqu’à présent vous n’avez toujours pas mis le pied dans un aéronef !

Puis conseil de sécurité et formation à la voile.

Vous faites ensuite « de la planche » pour vous apprendre la position de chute.

Toujours pas d’avion.

Si la formation est honnête vous devriez faire du pliage de parachute…Long, fastidieux, mais si vous pliez mal votre parachute…Soyez attentif !

Après un encadrement ça y est vous pouvez monter.

Lors de votre premier saut, vous ne serez pas seul, un (ou deux) moniteur(s) vous accompagnerons.

Rappel la montée dure… bien longtemps mais la chute fait 50’’ environ.

Une fois arrivé au sol il faut ranger l’équipement.

 

Même pour un saut « expérimenté » de 50 secondes il y a un long temps de préparation et de rangement. On ne peut faire 50 Saut dans la journée.

 

Tout cela pour rappeler le long chemin qui mène à ces 50 secondes de plaisir.
Personne n’ira redire ni se plaindre de « tout le reste ».
Cela fait « aussi » partie du plaisir, même si cela reste des « corvées » on les exécute avec joie car « on va sauter ».

 

Le BD²S²M est au libertinage ce que le Base Jumping est au saut en tandem.

 

eyeswideshut2Le libertinage « simple » est déjà un « sport à risque ».

Notre univers est une branche de ce « sport extrême ».

 

J’ai arbitrairement et volontairement établi la filiation « libertinage » au « BD²S²M ».

Car elle est la « suite logique » de beaucoup trop de néophytes.

C’est une réalité, mais pas une obligation.

 

Il ne serait pas bien que le BD²S²M se veuille élitiste.

Car cette philosophie, souvent dogmatique et les rapports sociaux inhérents seraient contraires à cette liberté revendiquée.

Le BD²S²M est « affilié » au libertinage, dans lequel tout le monde peut lire le mot « liberté ».

 

eveUn mot « oublié » dans le libertinage est le « non ».

Aujourd’hui le libertinage est devenu plus qu’une mode, un moyen compétitif de « déstress ».

A tel point que le libertinage doit avoir du « rendement ».

Tant et si bien qu’un refus est la plus part du temps mal vécu.

Surtout cet aspect « mal vécu » est le reflet de rapports sociaux de « consommation ».

Les gens ne veulent plus « se rencontrer » et donc établir « librement » des relations, ici ce dont nous parlons est uniquement « sexuel », soyons honnêtes.

Ils veulent « rapidement » passer un très bon moment qu’ils pourront et quantifier et qualifier.

Il n’y a « tellement » pas de ‘temps à perdre’ que les entrées en la matière sont rédhibitoires à la prise de confiance.