Pas une théorie mais une doctrine.

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Je vous remercie de m’avoir lu jusqu’ici et je reviens à l’univers qui nous intéresse, le BDSM.

Je vois ici dans l’imposition “à tout prix” de cette doctrine l’attitude des mini-maîtres.
Ma soumise propose au verbe transitif se soumettre, “reddition consentie”.

wonder_woman_commission_by_jeffach-d4j1hpzEn effet en BDSM, et D/s en aucun cas le Dom ne “vainc” la soumise. (Je vais parler de Dom au sens large car je suis un homme et de soumise pour soumise ET soumis. Permettez cette digression.)
Le Dom ne fait pas plier le/la soumis/e il ne s’agit pas d’un “combat” et c’est bel est bien la/le soumis/e qui fait acte de reddition.
Et accepte librement, avec un réel libre arbitre et un consentement éclaire de SE soumettre au Dom.

C‘est ainsi que s’établi le relation D/s dans le respect et la confiance.
De deux parfaits inconnus, qui s’apprennent l’un l’autre, il y a la considération qui est portée naturellement.
Cette civilité courtoise appelée à tort “respect “.
On ne respecte que ce qu’on connaît et pour lequel on a de l’estime.
Au fil des échanges entre D/s il va y avoir de l’estime car de cet échange nait ce qui nourri la relation : le dialogue.
En apprenant l’un de l’autre et l’un sur l’autre le désir se fait.
Pour le Dom d’avoir le privilège de prendre soin de ce/cette soumise/e.
Pour le/la soumis/e de faire son acte de fois en se rendant aux arguments.
Si nous admettons ici que la pierre angulaire est l’échange, pas uniquement par le “dialogue” c’est à dire la parole, nous avons compris le principal.
Les échanges à priori par les gestes, par les attentions, par les actes et pas uniquement les paroles, permet d’établir cette estime.
Avoir des actes contradictoires à ses paroles porte à confusion et n’assoie nullement l’estime et ne procurera jamais le respect de la réputation.
Pour que le Dom ait envie et désire prendre soin de ce/cette soumise il faut que l’attitude soit “cohérente”.
Pour que le/la soumise/ veuille accepter sa reddition il faut l’harmonie du geste à la parole et la douceur ferme à la violence mal assurée.

10366274_510950769009983_3552984330548817944_nVous comprenez ici par l’exemple BDSM qui nous parle à tous et sur les bases duquel nous sommes d’accord.
Que ces bases saines de l’établissement de nos relation au cœur de notre microcosme sont des universelles.
Si vous étiez confronté à un Dom qui par un acte écrit affirme une chose et qu’il vienne vous dire par la parole qu’il ne l’a jamais écrit.
Qu’il affirme par des amalgames et donc des insultes à peine voilées que vous êtes menteur.
Que c’est vous qui affabulez quelque chose qu’il n’a pas fait et que ce Dom confronté à sa propre plume vous renvoie d’un revers de la main.
Quelle serait l’attitude ?!
Un Dom réagirait et dirait qu’il s’agit ici d’un mini-maître.
J’ai personnellement assez dénoncé cette catégorie, assez expliqué les modus opérandum pour montrer et démontrer par quels actes de manipulation mentales ils agissent. [ ICI UNE VIDEO SI VOUS NE VOULEZ PAS LIRE ]
Un/e soumis/e serait offusqué du manque de vergogne de ce Dom qui ment face à ses mensonges et ne lui ferait jamais confiance.
Je me suis toujours évertué à enseigner, à celle qui me fait l’honneur de porter mon collier, les méthodes et le techniques de manipulation.
J’ai toujours expliqué ce que je faisais et comment il est possible de s’y prendre pour faire faire quelque chose à quelqu’un qui ne le ferait pas “à priori”.
J’ai toujours désiré que celle qui porte mon collier ne puisse pas être manipulée en premier ressort par moi.
En luis enseignant ces techniques et méthodes, je désire que ma soumise soit prémunie et que ses actes soient des actes délibérés et librement consentit.
Quoi de plus “jouissif” qu’un/e soumis/e qui choisi librement, je veux dire vraiment librement, de faire quelque chose.
Quelque chose dont elle ne se serait jamais crue capable et de surmonter ses peur portée par la vertu de son Dom.
Manipuler les gens, les “droguer” par des produits ou des enfumages d’endoctrinement n’apporte aucun plaisir.
Autant violer sa propre soumise sous GHB.
A vaincre sans péril on triomphe sans gloire.
J’aime moi à avoir à montrer à ma soumise qu’elle peut y arriver à l’aider.
Comme un enfant apeuré à qui on apprend l’équilibre à faire du vélo.
Et fièrement s’élance tout seul sens peur et avec courage.
Le Dom qui laisserait éternellement les petites roulettes, en y mettant de l’huile pour qu’elles ne fassent pas de bruit.
Ce Dom qui ferait croire qu’il “court derrière” la tien et la protège, assis dans son fauteuil un livre à la main pour ne pas s’épuiser à courir.
Que penseriez vous de ce Dom ?!

gallery_201180_455_28960Ce Dom qui n’accepterait pas la peur et les angoisses de sa/son soumis/e mettant un terme systématiquement au dialogue.
D’écouter celui/celle qui porte son collier pour simplement lui dire quoi faire et comment le faire.
N’ayant aucun dialogue et donc aucun échange. En niant la réalité, par exemple de l’appréhension au premier argument, mais peut-être aussi la douleur au premier cri.
Le Dom qui ne s’occuperait et ne se préoccuperait pas de son/sa soumis/e de quelque plaisir en retirerait il ?!
Nous “Dom” sommes assez honnête envers nous même pour accepter notre égoïsme.
Nous l’affirmons dans notre relation que notre soumis/e nous apporte du plaisir.
Qu’elle/il est l’objet, littéralement, de notre plaisir, de notre bon plaisir.
Nous sommes tellement honnête que nous savons que nous n’aurions pas de plaisir si le/la soumise n’avait pas pour sa part égoïste du plaisir.
Quoi de mieux que le plaisir de son/sa soumis/e, que le but même du Dom ?!
Nous aimons avoir du plaisir de la/du soumis/e.
Que d’un acte forcé, donc sous contrainte et sans plaisir, nous Dom n’en retirons pas la réelle quintécance.
Pour mon propre plaisir j’ai “besoin” du plaisir de ma soumise, si elle n’a pas du plaisir à me “rejoindre” dans mes plaisirs, quel intérêt ?!

Du monde BDSM de nos doctrine libre qui prônent la liberté, une réelle liberté.
Au point d’en accepter notre propre égoïsme au service de l’autre finalement.
J’accepte ce que je suis et cela tombe très bien c’est ce que j’offre à celle qui m’honore de mon collier.
Elle sait qu’elle est mon objet de plaisir.
Et quel n’est autre que son plaisir que de me satisfaire et de me donner du plaisir, n’en éprouve-t-elle pas que ce soit la fondement de notre relation : l’échange.

giving-you-her-leash-21365Du monde BDSM, confronté à minima au libertinage (j’ai déjà écrit là dessus), nous en arrivons plus généralement “au reste la société”.
Ici confronté à l’uniformisation du genre (humaine) par une horrible doctrine que ne veut pas dire son nom et donc montrer son visage.
La doctrine se fait appeler “théorie” là où il n’est pas admis et même INTERDIT d’en discuter.
Pour une doctrine “libertaire” nier le dialogue et donc l’échange me paraît suspicieux.
Quand la doctrine qui joue sur le ressort des sentiments et de l’affect humain en nous infantilisant ne veut pas affirmer des choses rudimentaires.
Pourquoi au premier argument cette doctrine ne fait elle pas valoir une “églaité” ou “équité des droits ?!
C’est tellement imparable que même ceux qui sont traités d’intégriste pseudo “Catho” sont pour ces même droits.

De cette doctrine qui nie l’évidence qui se situe entre nos cuisses en se heurtant de plein fouet à son premier mensonge.
Il existe DEUX genres, les mâles et les femelles.
J’aime ma différence avec les autres. Que ce serait triste de voyager dans un pays étranger pour venir y ‘déguster’ un big-mac en “boivant” du Coca Light.
Moi quand je vais dans une contrée étrangère, aussi bien en Savoie qu’au Japon, je veux y rencontrer des autochtones, des indigènes.
Je veux “manger” local, entendre leur accents, leurs expressions leur coutumes.
Si c’est pour aller “au bout du monde” et me faire chier comme dans mon canapé, permettez que je dise non et que je veuille affirmer ma différence.

D’un pays qui a connu l’apartheid j’aime cette citation :

C’est une erreur de croire nécessairement faux ce qu’on ne comprend pas. – Mahatma Gandhi

Cette différence vous le comprenez moi je l’aime de la France jusque dans un autre pays avec des gens différents, mais de Mars lorsque je vais sur Vénus.
J’aime cette différence complémentaire et je honnie ces féministe radicales qui font de nos différences des différences conflictuelles.

Nos différences sont un avantage et un atout, certainement pas un prétexte à nous foutre sur la gueule.

Pourquoi diviser tant les gens et pourquoi interdire le dialogue en général en brouillant la discussion entre eux ?!
Je vous propose le poème de Jean de La Fontaine : ‘le vieillard et ses enfants‘, ce poème a une morale.

 

En vous remerciant de votre attention.

Sincèrement,

Dieu

« Je ne cherche pas à connaître les réponses, je cherche à comprendre les questions. »
Confucius

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