Huit degré de la Soumission.

 
 

Ce test provient de « Cercle O  » qu’il n’y ait pas d’équivoque.

 
 

« 1° degré : l’amoureux non-dominant

010get_img[1]Il n’est pas dans l’échange de pouvoir ni dans le contrôle et ne donne pas d’ordres. Il apprécie seulement l’intensification de sa sexualité que lui apporte la mise en scène BDSM. Il se sent conforté dans ce jeu si la partenaire en tire du plaisir.
Il n’essaiera pas de nouvelles pratiques sans en avoir auparavant discuté avec elle et être certain que cette dernière appréciera ce changement.
Son plaisir est avant tout axé sur l’activité sexuelle et non pas sur la « fessée » ou le contrôle de l’autre.

2° degré : Le jeu de rôle dominant mais pas maître

Très souvent, il trouve ses partenaires sur le Net. Il sera dominant et semblera être capable de tout contrôler. Il aimera jouer des rôles : sur le registre de l’humiliation, sa « soumise » devra le servir, se mettre à genoux ou agir comme il veut. Il aime « former » de nouvelles soumises. Il se sent ainsi sûr de lui malgré son peu de connaissance du D/s. Il ne forcera pas la soumise dans ses limites, sauf dans une relation de cybersexe.
Ce type de « dominant » se vantera des esclaves qu’il a eues et de celles qu’il a formées.

3° degré : le jeu de rôle dominant/maître

044get_img[3]Il aime jouer au « maître » qui contrôle le jeu. Il veut que sa « soumise » porte un collier avant même qu’un premier rapport soit établi. Dans les conditions qu’il aura dictées, il se fera servir et la soumise devra satisfaire à ses besoins.
Il ne se préoccupe absolument pas de la progression de sa soumise. Il ne donne que rarement des « exercices » et même dans ce cas, le feed-back est minimal.
Et s’il est dans un registre de contrôle et de domination, celui-ci ne servira pas à faire progresser la partenaire.

4° degré : le véritable dominant non-Maître

Il contrôle et commande la soumise mais à titre provisoire et dans les limites convenues. La différence avec le précédent c’est que celui-ci sait que le pouvoir vient du sujet soumis. Il est habituellement excité d’être servi sexuellement. Il n’éprouve pas de satisfaction à forcer la soumise. Il met plutôt leurs jeux en scène dans les limites définies. Et bien qu’il cherche son plaisir dans la domination, il est certain que sa soumise y trouvera elle aussi et grandement le sien.

5° degré : le véritable dominant maître de jeu

Il prend aussi le contrôle mais c’est une habitude provisoire et dans des limites consenties. Il éprouve de la satisfaction d’être servi. Il met en scène, en jouant sur la soumission de sa partenaire et la douleur légère qu’il lui apporte.
Malgré cela, il ne va pas assez loin pour libérer des endorphines chez la soumise. Il tire plaisir à être à l’origine de la douleur et non de ce que peut éprouver cette dernière.
S’il contrôle la soumise, il ne contrôle pas la « séance » et celle-ci se terminera au même niveau d’intensité qu’elle avait commencé.

6° degré : le maître dominant non engagé dans le temps

009get_img[2]Il domine le rapport, mais peut avoir convenu de limites. Il veut être servi par la soumise tant dans les activités érotiques que non-érotiques. Dans les limites consenties, la soumise doit satisfaire à ses besoins et ses désirs. Il donnera des taches à exécuter à sa soumise sans pour autant se préoccuper de leur accomplissement.
Il jouera le rôle du dominant seulement quand il sera dans l’humeur de le faire. Le jeu de rôle peut durer plusieurs jours («Maître le week-end seulement ! ») mais en conservant, pour chacun, la liberté de renoncer à tout moment. Cette durée est habituellement définie par les contraintes du temps qu’ils peuvent passer ensemble. Lorsque la relation perdure, il a toujours une bonne raison pour que celle-ci ne soit pas à plein temps.

7° degré : le vrai maître à temps partiel

Dans la relation « Maître/esclave » en cours, il considère sa soumise comme sa propriété exclusive à plein temps. Il cherche à distinguer ce qu’elle veut et/ou a besoin et souhaite que sa soumise « grandisse ». Habituellement il règlera les détails de la vie courante de sa soumise (taches à exécuter, vêtements à porter, etc…). Il consacre la majeure partie de son temps à ses divers engagements mais réserve le maximum de son temps libre à sa soumise.
Ses mises en scènes ont pour but de faire progresser sa soumise. Il contrôle les réactions de la soumise, en observe constamment les changements physiques et maîtrise la progression de l’action en fonction de la libération des endorphines pour l’amener dans le « subspace ». Il a à cœur de l’accompagner dans « son retour » et se préoccupe alors de ses besoins.

8° degré : le maître à plein temps

060get_img[16]Il a le contrôle total du rapport mais pense aussi au bien-être de l’esclave. Les limites posées sont considérées comme des occasions de faire progresser la soumise par des « devoirs » à exécuter dans le cadre de la relation.
Il considère sa soumise comme un bien précieux et consacre du temps à la façonner, « la polir » par la formation. Au quotidien même si son rôle est semblable au « mari vanille », il demeure le gardien de la relation et le garant du bien-être de la soumise.
En raison de l’échange total de pouvoir, celui-ci s’étend sur les différentes facettes de la vie de l’esclave (physique, émotionnel et mental). Une relation de ce type est habituellement définie beaucoup plus soigneusement que le mariage traditionnel.
Souvent un contrat est signé spécifiant la durée du contrat, les règles à respecter par l’esclave. Ce contrat est normalement basé sur les règles de D/s dans des termes qui seront agréés par les deux protagonistes. Il contiendra aussi les modalités de progression de la soumise.
La rupture du contrat ne peut intervenir que par le fait du maître qui peut aussi le renouveler lorsque le contrat arrive à expiration. »

En vous remerciant de votre attention.

Sincèrement,

Dieu

« Je ne cherche pas à connaître les réponses, je cherche à comprendre les questions. »
Confucius

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Transformation, d’une femme en mannequin.

 

Comment est en vrai un mannequin puis sur une affiche dans la rue…

Suivez au travers de cette viédo l’arrivée du manequin, son maquillage, le “shooting’ pui photoshop…
Et l’affiche finale, une “pub” Dove.

 

Sincèrement,

Dieu

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Maître selon moi.

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La réflexion de cet article remonte à plusieurs lustres, sa rédaction d’un seul.
Aujourd’hui, je le publie.


Etymologie :

Introduction et sens :

Le mot « maître » s’applique aussi pour son pendant féminin, « maîtresse ».
Cependant le féminin de « maître », il n’a usuellement pas le même sens.
La « maîtresse » est l’amante et certainement pas la « Domina » dans notre langage commun.
Voilà un archétype.

Nous allons admettre que je suis un homme, je vais donc parler au masculin et que nous traitons du même sens, sinon je vais digresser.
J’emploierai donc « maître » pour désigner la fonction et non le sexe.

 

Pourquoi je n’aime pas ce mot :

Entendez tout d’abord qu’il s’agisse de mes goûts et ne sont donc pas discutables, je n’aime pas.
Je n’aime pas en cela ce mot que je le trouve insultant, pour diverses raisons.

Lire la Suite.

La poule et l’œuf.

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Le paralogisme de la poule et l’œuf.

 

Appelé le “fameux paradoxe” il s’agit d’un sophisme, de type particulier : au mieux apagogie au pire paralogisme (souvent le second).

Fallacieux car sophisme il s’appui sur les apparences sur syllogisme.

 

Regardons de près le mensonge.
A) Dans quel but est utilisé cette fausse démonstration

B) Comment ce paradoxe est faux

 

 

Lire la Suite.

Principe et truisme.

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Bonjour,

 

Mon paradigme,

 

Vous l’avez peut-être lu dans la “note du fondateur“,

je me présente « Dieu » je suis le « membre » initiateur de ce projet.

Il a démarré vers 2000, 2002 dans mon souhait.

Ne trouvant pas d’espace d’expression et étant (déjà) las de la Troll-attitude.

Je désirais pouvoir avoir et offrir un lieu de liberté, la vraie et de partage, le vrai.

 

De sorte qu’on puisse échanger les idées sans en faire une confrontation d’idéologie.

Que le point de vue d’une personne soit une « opinion », ce qui n’est pas un délit : comme nous en protège l’article X du préambule de notre constitution Française , la déclaration des droits de l’homme.

Les opinions ni les idées ni la religion ne sont un délit et les partager sinon les échanger est enrichissant.

Que cette co-sanguinité « pseudo-domatigue » entendez « croyance » du monde BDSM n’est pas saine.

C’est au contraire dans la diversité et la différence que nous nous enrichissons les uns des autres.

 

Par manque de temps comme de paresse je n’ai pas initié ce projet.

En 2010 j’ai mis réellement en germe ce projet, entre temps j’ai croisé un site web qui je le pensais pouvait être ce que je recherchais, il ne le fut pas d’ailleurs il n’existe plus.

Mon germe s’est mis en repos, les bases étaient posées déjà, la « constitution ».

 

Ne trouvant pas ce que je souhaite :  je le crée.

Je prends soin de ce projet et je tente de le faire grandir.

En déposant des articles pertinents, des photos et en ouvrant un forum.

Un forum dans une agora, le symbole est fort, « Démocratie » (Grecque) et République (Romaine).

 

De ce projet il y a une seule est unique condition irréfragable : que je n’ai AUCUN pouvoir sur le site.

Certes : le site est créée sur mes propres denier et mon temps personnel.

J’en suis le « propriétaire » de fait et je gestionnaire « technique ».

Cependant en consultant mon profil vous constaterez que je suis un « simple » membre.

C’est mon unique condition : être dépossédé de tout « pouvoir » à l’égard de la vie du site.

De sorte que je ne puisse pas avoir plus de « pouvoir » que j’en ai déjà. (par le fait)

 

Je ne serais donc pas celui qui modérera les propos, les échanges, je ne souhaite pas qu’il y ait de censure (*) ni être en capacité à le faire.

 

C’est j’en suis convaincu la garantie du bon fonctionnement, tant à mon égard que dans la confiance qu’on portera à la notoriété de cet endroit.

 

Si lorsque j’écris « je n’aime pas » vous lisez « je déteste », peut-être vous trompez vous d’endroit. Vous êtes entré ici librement, aussi libre que d’en sortir.

 

Du respect à gagner j’accorde à priori de la considération pour tout le monde.

Charge à la personne de monter dans l’estime, qui permettra au respect mutuel,

 

Sincèrement,

Dieu

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(*) vous connaissez l’unique règle.

Rappel à la loi.

 
 

Les “lois” BDSM sont soumises aux lois Françaises.

 

Je me permets de reprendre des éléments de bases qui me sont chers et dans la logique de ma doctrine.

En effet seuls les mini-maîtres ou pseudo-dogmatistes affirmeront à hue et à dia que rien n’est au dessus de “leur” loi.

« Hé ben si : le législateur mon bon mossio. »

En effet rien ni personne ne peut se substituer à la loi de notre pays ni de sa constitution.

En voici le rappel de nos libertés (certes) mais aussi de nos obligations et de nos devoirs “universels”.

(Ceci s’adresse aussi aux femmes, malgrè le titre).


Constitution de la République française

 

Article PREAMBULE
(…)
Le Peuple français proclame solennellement son attachement aux Droits de l’Homme et aux principes de la souveraineté nationale tels qu’ils sont définis par la Déclaration de 1789.( NdlR : reprise ci dessous)

DÉCLARATION DES DROITS DE L’HOMME ET DU CITOYEN DE 1789

Aller à l’article : 1 2 3 4 5 6 7 8 9 10 11 12 13 14 15 16 17

Article premier

Les hommes naissent et demeurent libres et égaux en droits. Les distinctions sociales ne peuvent être fondées que sur l’utilité commune.

Article II

Le but de toute association politique est la conservation des droits naturels et imprescriptibles de l’homme. Ces droits sont la liberté, la propriété, la sûreté et la résistance à l’oppression.

Article III

Le principe de toute Souveraineté réside essentiellement dans la Nation. Nul corps, nul individu ne peut exercer d’autorité qui n’en émane expressément.

Article IV

La liberté consiste à pouvoir faire tout ce qui ne nuit pas à autrui : ainsi l’exercice des droits naturels de chaque homme n’a de bornes que celles qui assurent aux autres Membres de la Société, la jouissance de ces mêmes droits. Ces bornes ne peuvent être déterminées que par la Loi.

Article V

La Loi n’a le droit de défendre que les actions nuisibles à la Société. Tout ce qui n’est pas défendu par la Loi ne peut être empêché, et nul ne peut être contraint à faire ce qu’elle n’ordonne pas.

Article VI

La Loi est l’expression de la volonté générale. Tous les Citoyens ont droit de concourir personnellement, ou par leurs Représentants, à sa formation. Elle doit être la même pour tous, soit qu’elle protège, soit qu’elle punisse. Tous les Citoyens étant égaux à ses yeux, sont également admissibles à toutes dignités, places et emplois publics, selon leur capacité, et sans autre distinction que celle de leurs vertus et de leurs talents.

Article VII

Nul homme ne peut être accusé, arrêté, ni détenu que dans les cas déterminés par la Loi, et selon les formes qu’elle a prescrites. Ceux qui sollicitent, expédient, exécutent ou font exécuter des ordres arbitraires, doivent être punis ; mais tout Citoyen appelé ou saisi en vertu de la Loi doit obéir à l’instant : il se rend coupable par la résistance.

Article VIII

La Loi ne doit établir que des peines strictement et évidemment nécessaires, et nul ne peut être puni qu’en vertu d’une Loi établie et promulguée antérieurement au délit, et légalement appliquée.

Article IX

Tout homme étant présumé innocent jusqu’à ce qu’il ait été déclaré coupable, s’il est jugé indispensable de l’arrêter, toute rigueur qui ne serait pas nécessaire pour s’assurer de sa personne, doit être sévèrement réprimée par la Loi.

Article X

Nul ne doit être inquiété pour ses opinions, même religieuses, pourvu que leur manifestation ne trouble pas l’ordre public établi par la Loi.

Article XI

La libre communication des pensées et des opinions est un des droits les plus précieux de l’Homme : tout Citoyen peut donc parler, écrire, imprimer librement, sauf à répondre de l’abus de cette liberté, dans les cas déterminés par la Loi.

Article XII

La garantie des droits de l’Homme et du Citoyen nécessite une force publique : cette force est donc instituée pour l’avantage de tous, et non pour l’utilité particulière de ceux auxquels elle est confiée.

Article XIII

Pour l’entretien de la force publique, et pour les dépenses d’administration, une contribution commune est indispensable. Elle doit être également répartie entre tous les Citoyens, en raison de leurs facultés.

Article XIV

Tous les Citoyens ont le droit de constater, par eux-mêmes ou par leurs Représentants, la nécessité de la contribution publique, de la consentir librement, d’en suivre l’emploi et d’en déterminer la quotité, l’assiette, le recouvrement et la durée.

Article XV

La Société a le droit de demander compte à tout Agent public de son administration.

Article XVI

Toute Société dans laquelle la garantie des Droits n’est pas assurée, ni la séparation des Pouvoirs déterminée, n’a point de Constitution.

Article XVII

La propriété étant un droit inviolable et sacré, nul ne peut en être privé, si ce n’est lorsque la nécessité publique, légalement constatée, l’exige évidemment, et sous la condition d’une juste et préalable indemnité.

En vous remerciant de votre attention.

Sincèrement,

Dieu

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