Périodes et étapes.

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Déroulement et stades de la relation,

Préambule :

Avant toute chose je désire rappeler que la Soumise peut déposer son collier à tout moment, unilatéralement, inconditionnellement.

Une Soumise n’a pas « besoin » d’être affranchie.


En ce qui me concerne cela se déroule en quatre périodes, mais 5 « étapes ».

Tout au début il y a « rien » c’est une « non » période, mais elle existe.

1) Contact ; la rencontre,
2) Exploration ; la découverte,
3) Acceptation ; le noviciat,
4) Probation ; les épreuves,
5) Détermination ; Le début ou approbation définitive.

Cette cinquième et dernière période est en réalité le « début » de notre aventure commune.
Aucune de mes Soumise n’a pu passer avec succès la probation et entrer en détermination.

Lire la Suite.

 

Huit degré de la Soumission.

 
 

Ce test provient de « Cercle O  » qu’il n’y ait pas d’équivoque.

 
 

« 1° degré : l’amoureux non-dominant

010get_img[1]Il n’est pas dans l’échange de pouvoir ni dans le contrôle et ne donne pas d’ordres. Il apprécie seulement l’intensification de sa sexualité que lui apporte la mise en scène BDSM. Il se sent conforté dans ce jeu si la partenaire en tire du plaisir.
Il n’essaiera pas de nouvelles pratiques sans en avoir auparavant discuté avec elle et être certain que cette dernière appréciera ce changement.
Son plaisir est avant tout axé sur l’activité sexuelle et non pas sur la « fessée » ou le contrôle de l’autre.

2° degré : Le jeu de rôle dominant mais pas maître

Très souvent, il trouve ses partenaires sur le Net. Il sera dominant et semblera être capable de tout contrôler. Il aimera jouer des rôles : sur le registre de l’humiliation, sa « soumise » devra le servir, se mettre à genoux ou agir comme il veut. Il aime « former » de nouvelles soumises. Il se sent ainsi sûr de lui malgré son peu de connaissance du D/s. Il ne forcera pas la soumise dans ses limites, sauf dans une relation de cybersexe.
Ce type de « dominant » se vantera des esclaves qu’il a eues et de celles qu’il a formées.

3° degré : le jeu de rôle dominant/maître

044get_img[3]Il aime jouer au « maître » qui contrôle le jeu. Il veut que sa « soumise » porte un collier avant même qu’un premier rapport soit établi. Dans les conditions qu’il aura dictées, il se fera servir et la soumise devra satisfaire à ses besoins.
Il ne se préoccupe absolument pas de la progression de sa soumise. Il ne donne que rarement des « exercices » et même dans ce cas, le feed-back est minimal.
Et s’il est dans un registre de contrôle et de domination, celui-ci ne servira pas à faire progresser la partenaire.

4° degré : le véritable dominant non-Maître

Il contrôle et commande la soumise mais à titre provisoire et dans les limites convenues. La différence avec le précédent c’est que celui-ci sait que le pouvoir vient du sujet soumis. Il est habituellement excité d’être servi sexuellement. Il n’éprouve pas de satisfaction à forcer la soumise. Il met plutôt leurs jeux en scène dans les limites définies. Et bien qu’il cherche son plaisir dans la domination, il est certain que sa soumise y trouvera elle aussi et grandement le sien.

5° degré : le véritable dominant maître de jeu

Il prend aussi le contrôle mais c’est une habitude provisoire et dans des limites consenties. Il éprouve de la satisfaction d’être servi. Il met en scène, en jouant sur la soumission de sa partenaire et la douleur légère qu’il lui apporte.
Malgré cela, il ne va pas assez loin pour libérer des endorphines chez la soumise. Il tire plaisir à être à l’origine de la douleur et non de ce que peut éprouver cette dernière.
S’il contrôle la soumise, il ne contrôle pas la « séance » et celle-ci se terminera au même niveau d’intensité qu’elle avait commencé.

6° degré : le maître dominant non engagé dans le temps

009get_img[2]Il domine le rapport, mais peut avoir convenu de limites. Il veut être servi par la soumise tant dans les activités érotiques que non-érotiques. Dans les limites consenties, la soumise doit satisfaire à ses besoins et ses désirs. Il donnera des taches à exécuter à sa soumise sans pour autant se préoccuper de leur accomplissement.
Il jouera le rôle du dominant seulement quand il sera dans l’humeur de le faire. Le jeu de rôle peut durer plusieurs jours («Maître le week-end seulement ! ») mais en conservant, pour chacun, la liberté de renoncer à tout moment. Cette durée est habituellement définie par les contraintes du temps qu’ils peuvent passer ensemble. Lorsque la relation perdure, il a toujours une bonne raison pour que celle-ci ne soit pas à plein temps.

7° degré : le vrai maître à temps partiel

Dans la relation « Maître/esclave » en cours, il considère sa soumise comme sa propriété exclusive à plein temps. Il cherche à distinguer ce qu’elle veut et/ou a besoin et souhaite que sa soumise « grandisse ». Habituellement il règlera les détails de la vie courante de sa soumise (taches à exécuter, vêtements à porter, etc…). Il consacre la majeure partie de son temps à ses divers engagements mais réserve le maximum de son temps libre à sa soumise.
Ses mises en scènes ont pour but de faire progresser sa soumise. Il contrôle les réactions de la soumise, en observe constamment les changements physiques et maîtrise la progression de l’action en fonction de la libération des endorphines pour l’amener dans le « subspace ». Il a à cœur de l’accompagner dans « son retour » et se préoccupe alors de ses besoins.

8° degré : le maître à plein temps

060get_img[16]Il a le contrôle total du rapport mais pense aussi au bien-être de l’esclave. Les limites posées sont considérées comme des occasions de faire progresser la soumise par des « devoirs » à exécuter dans le cadre de la relation.
Il considère sa soumise comme un bien précieux et consacre du temps à la façonner, « la polir » par la formation. Au quotidien même si son rôle est semblable au « mari vanille », il demeure le gardien de la relation et le garant du bien-être de la soumise.
En raison de l’échange total de pouvoir, celui-ci s’étend sur les différentes facettes de la vie de l’esclave (physique, émotionnel et mental). Une relation de ce type est habituellement définie beaucoup plus soigneusement que le mariage traditionnel.
Souvent un contrat est signé spécifiant la durée du contrat, les règles à respecter par l’esclave. Ce contrat est normalement basé sur les règles de D/s dans des termes qui seront agréés par les deux protagonistes. Il contiendra aussi les modalités de progression de la soumise.
La rupture du contrat ne peut intervenir que par le fait du maître qui peut aussi le renouveler lorsque le contrat arrive à expiration. »

En vous remerciant de votre attention.

Sincèrement,

Dieu

« Je ne cherche pas à connaître les réponses, je cherche à comprendre les questions. »
Confucius

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Les “Trois lois”, selon moi.

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Mes Trois lois.

A mon égard :

  1. Je ne porterai atteinte à personne, ni par mon inaction permettrai que quelqu’un soit blessé.
  2. J’écouterai librement mes désirs et mes envies sauf si cela entre en contradiction avec la première loi.
  3. Je dois faire en sorte que celle qui porte mon collier me soit attentive et la guider en cela, aussi longtemps qu’une telle protection n’est pas en contradiction avec la Première et /ou la Deuxième Loi.


A son égard :

  1. La personne qui se soumet ne doit permettre que son intégrité soit compromise ni par son inaction tolérer que cela se produise.
  2. La personne qui se soumet doit suivre les préconisations de celui dont elle porte le collier, sauf si cela entre en contradiction avec la Première Loi.
  3. La personne qui se soumet doit protéger celle dont elle porte le collier et en prendre soin aussi longtemps que cela n’entre pas en contradiction avec la Première et /ou la Deuxième Loi.

Librement inspiré d’Asimov :

Première Loi

  • Un robot ne peut blesser un être humain ni, par son inaction, permettre qu’un humain soit blessé.

Deuxième Loi

  • Un robot doit obéir aux ordres donnés par les êtres humains, sauf si de tels ordres sont en contradiction avec la Première Loi.

Troisième Loi

  • Un robot doit protéger sa propre existence aussi longtemps qu’une telle protection n’est pas en contradiction avec la Première et/ou la Deuxième Loi.

Sincèrement,

Dieu

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Maître selon moi.

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La réflexion de cet article remonte à plusieurs lustres, sa rédaction d’un seul.
Aujourd’hui, je le publie.


Etymologie :

Introduction et sens :

Le mot « maître » s’applique aussi pour son pendant féminin, « maîtresse ».
Cependant le féminin de « maître », il n’a usuellement pas le même sens.
La « maîtresse » est l’amante et certainement pas la « Domina » dans notre langage commun.
Voilà un archétype.

Nous allons admettre que je suis un homme, je vais donc parler au masculin et que nous traitons du même sens, sinon je vais digresser.
J’emploierai donc « maître » pour désigner la fonction et non le sexe.

 

Pourquoi je n’aime pas ce mot :

Entendez tout d’abord qu’il s’agisse de mes goûts et ne sont donc pas discutables, je n’aime pas.
Je n’aime pas en cela ce mot que je le trouve insultant, pour diverses raisons.

Lire la Suite.

Encylopédia, BD²S²M vulgaris.

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Texte initial 2004,première publication 2010.
Révision 2014.


BD²S²M vulgaris.

Avant toute chose je tiens à faire une présentation en deux points.

La première essentielle le « glossaire » afin d’expliquer les mots, les origines. Comprendre la base de toute chose avant de grimper les étages.

Le seconde plus autocritique d’un monde face à la mode, les deux se côtoient et ne se comprennent pas.

Quelques sources :

http://wapedia.mobi/fr/BDSM

Le cercle de Mylady

Préambule

I) Définition

  1. Bondage & Discipline
  2. Domination / soumsion
  3. Sadisme + Masochisme
  1. S+M
  2. TOP/BOTTOM
  3. D/s
  4. B&D

Conclusion

II) Vue de l’intérieur

 Fin

Préambule

« BDSM », l’acronyme mal compris lui-même en premier lieu.

Il ne s’agit pas de « BDSM » prononcé ‘bédéhéssaime mais B.D.S.M : BD. et D.S. et S.M. « conventionnellement » regroupés en factorisant les lettres en doubles : BD²S²M en somme.

Il s’agit donc de TROIS « univers » distincts et bien évidement NON concurrentiels

  1. B.D. : Bondage et Discipline.
  2. D.S. : Domination et Soumission.
  3. S.M. : Sadisme et Masochisme.

Il n’est pas obligatoire d’adhérer à tout.

J’introduis donc la valeur FONDAMENTALE de ces relations « particulières » : La liberté.

Ne perdez pas ce mot à l’esprit : « Liberté », je m’en servirai à mainte reprise et je me permettrai aussi d’expliquer et le mot et ses valeurs.

Je me permets une large digression par des « raccourcis » qui feront certainement bondir les puristes, mais qui permettront cependant d’expliquer le plus simplement possible de manière rapide et le fond et la forme, au non initiés, aux néophytes et une piqure de rappel aux autres.

Lire la Suite.